La Bible

Lectures de la Bible
samedi 20 avril

Ce site vous propose le texte intégral de la Bible, dans la traduction de Louis Segonds (1910).

Un plan de lecture de la Bible sur une durée d'une année vous est proposé ici, avec chaque jour un extrait de l'Ancien Testament, un Psaume, un extrait des Proverbes et un extrait du Nouveau Testament.

Psaumes, 100

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Appel à louer l'Eternel

 
Ps 95, 1 Venez, chantons avec allégresse à l'Éternel ! Poussons des cris de joie vers le rocher de notre salut.
Ps 117, 1 Louez l'Éternel, vous toutes les nations, Célébrez-le, vous tous les peuples !
[1] Psaume de louange. Poussez vers l'Éternel des cris de joie, Vous tous, habitants de la terre !

La Sulamithe

[2] Servez l'Éternel, avec joie, Venez avec allégresse en sa présence ! [3] Sachez que l'Éternel est Dieu ! C'est lui qui nous a faits, et nous lui appartenons ; Nous sommes son peuple, et le troupeau de son pâturage. [4] Entrez dans ses portes avec des louanges, Dans ses parvis avec des cantiques ! Célébrez-le, bénissez son nom ! [5] Car l'Éternel est bon ; sa bonté dure toujours, Et sa fidélité de génération en génération.

Proverbes, 27

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[12] L'homme prudent voit le mal et se cache ; Les simples avancent et sont punis. [13] Prends son vêtement, car il a cautionné autrui ; Exige de lui des gages, à cause des étrangers.

Cantique des cantiques, 5

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Ap 3, 20 Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu'un entend ma voix et ouvre la porte, j'entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi.
2Co 7, 10 En effet, la tristesse selon Dieu produit une repentance à salut dont on ne se repent jamais, tandis que la tristesse du monde produit la mort.
[2] J'étais endormie, mais mon cœur veillait... C'est la voix de mon bien-aimé, qui frappe : -Ouvre-moi, ma sœur, mon amie, Ma colombe, ma parfaite ! Car ma tête est couverte de rosée, Mes boucles sont pleines des gouttes de la nuit. - [3] J'ai ôté ma tunique ; comment la remettrais-je ? J'ai lavé mes pieds ; comment les salirais-je ? [4] Mon bien-aimé a passé la main par la fenêtre, Et mes entrailles se sont émues pour lui. [5] Je me suis levée pour ouvrir à mon bien-aimé ; Et de mes mains a dégoutté la myrrhe, De mes doigts, la myrrhe répandue Sur la poignée du verrou. [6] J'ai ouvert à mon bien-aimé ; Mais mon bien-aimé s'en était allé, il avait disparu. J'étais hors de moi, quand il me parlait. Je l'ai cherché, et je ne l'ai point trouvé ; Je l'ai appelé, et il ne m'a point répondu. [7] Les gardes qui font la ronde dans la ville m'ont rencontrée ; Ils m'ont frappée, ils m'ont blessée ; Ils m'ont enlevé mon voile, les gardes des murs. [8] Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Si vous trouvez mon bien-aimé, Que lui direz-vous ?... Que je suis malade d'amour. -

Les filles de Jérusalem

[9] Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, O la plus belle des femmes ? Qu'a ton bien-aimé de plus qu'un autre, Pour que tu nous conjures ainsi ? -

La Sulamithe

[10] Mon bien-aimé est blanc et vermeil ; Il se distingue entre dix mille. [11] Sa tête est de l'or pur ; Ses boucles sont flottantes, Noires comme le corbeau. [12] Ses yeux sont comme des colombes au bord des ruisseaux, Se baignant dans le lait, Reposant au sein de l'abondance. [13] Ses joues sont comme un parterre d'aromates, Une couche de plantes odorantes ; Ses lèvres sont des lis, D'où découle la myrrhe. [14] Ses mains sont des anneaux d'or, Garnis de chrysolithes ; Son corps est de l'ivoire poli, Couvert de saphirs ; [15] Ses jambes sont des colonnes de marbre blanc, Posées sur des bases d'or pur. Son aspect est comme le Liban, Distingué comme les cèdres. [16] Son palais n'est que douceur, Et toute sa personne est pleine de charme. Tel est mon bien-aimé, tel est mon ami, Filles de Jérusalem ! -

Cantique des cantiques, 6

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Les filles de Jérusalem

[1] Où est allé ton bien-aimé, O la plus belle des femmes ? De quel côté ton bien-aimé s'est-il dirigé ? Nous le chercherons avec toi. [2] Mon bien-aimé est descendu à son jardin, Au parterre d'aromates, Pour faire paître son troupeau dans les jardins, Et pour cueillir des lis. [3] Je suis à mon bien-aimé, et mon bien-aimé est à moi ; Il fait paître son troupeau parmi les lis. -

Salomon

[4] Tu es belle, mon amie, comme Thirtsa, Agréable comme Jérusalem, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières. [5] Détourne de moi tes yeux, car ils me troublent. Tes cheveux sont comme un troupeau de chèvres, Suspendues aux flancs de Galaad. [6] Tes dents sont comme un troupeau de brebis, Qui remontent de l'abreuvoir ; Toutes portent des jumeaux, Aucune d'elles n'est stérile. [7] Ta joue est comme une moitié de grenade, Derrière ton voile... [8] Il y a soixante reines, quatre-vingts concubines, Et des jeunes filles sans nombre. [9] Une seule est ma colombe, ma parfaite ; Elle est l'unique de sa mère, La préférée de celle qui lui donna le jour. Les jeunes filles la voient, et la disent heureuse ; Les reines et les concubines aussi, et elles la louent. - [10] Qui est celle qui apparaît comme l'aurore, Belle comme la lune, pure comme le soleil, Mais terrible comme des troupes sous leurs bannières ? -

La Sulamithe

[11] Je suis descendue au jardin des noyers, Pour voir la verdure de la vallée, Pour voir si la vigne pousse, Si les grenadiers fleurissent. [12] Je ne sais, mais mon désir m'a rendue semblable Aux chars de mon noble peuple. - [13] Reviens, reviens, Sulamithe ! Reviens, reviens, afin que nous te regardions. -Qu'avez-vous à regarder la Sulamithe Comme une danse de deux chœurs ?

Cantique des cantiques, 7

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Les filles de Jérusalem

[1] Que tes pieds sont beaux dans ta chaussure, fille de prince ! Les contours de ta hanche sont comme des colliers, Oeuvre des mains d'un artiste. [2] Ton sein est une coupe arrondie, Où le vin parfumé ne manque pas ; Ton corps est un tas de froment, Entouré de lis. [3] Tes deux seins sont comme deux faons, Comme les jumeaux d'une gazelle. [4] Ton cou est comme une tour d'ivoire ; Tes yeux sont comme les étangs de Hesbon, Près de la porte de Bath Rabbim ; Ton nez est comme la tour du Liban, Qui regarde du côté de Damas. [5] Ta tête est élevée comme le Carmel, Et les cheveux de ta tête sont comme la pourpre ; Un roi est enchaîné par des boucles !... [6] Que tu es belle, que tu es agréable, O mon amour, au milieu des délices !

Salomon

[7] Ta taille ressemble au palmier, Et tes seins à des grappes. [8] Je me dis : Je monterai sur le palmier, J'en saisirai les rameaux ! Que tes seins soient comme les grappes de la vigne, Le parfum de ton souffle comme celui des pommes, [9] Et ta bouche comme un vin excellent,... -Qui coule aisément pour mon bien-aimé, Et glisse sur les lèvres de ceux qui s'endorment !

La Sulamithe

[10] Je suis à mon bien-aimé, Et ses désirs se portent vers moi. [11] Viens, mon bien-aimé, sortons dans les champs, Demeurons dans les villages ! [12] Dès le matin nous irons aux vignes, Nous verrons si la vigne pousse, si la fleur s'ouvre, Si les grenadiers fleurissent. Là je te donnerai mon amour. [13] Les mandragores répandent leur parfum, Et nous avons à nos portes tous les meilleurs fruits, Nouveaux et anciens : Mon bien-aimé, je les ai gardés pour toi.

Cantique des cantiques, 8

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[1] Oh ! Que n'es-tu mon frère, Allaité des mamelles de ma mère ! Je te rencontrerais dehors, je t'embrasserais, Et l'on ne me mépriserait pas. [2] Je veux te conduire, t'amener à la maison de ma mère ; Tu me donneras tes instructions, Et je te ferai boire du vin parfumé, Du moût de mes grenades. [3] Que sa main gauche soit sous ma tête, Et que sa droite m'embrasse ! -

Salomon

[4] Je vous en conjure, filles de Jérusalem, Ne réveillez pas, ne réveillez pas l'amour, Avant qu'elle le veuille. -
 
Ex 28, 29 Lorsque Aaron entrera dans le sanctuaire, il portera sur son cœur les noms des fils d'Israël, gravés sur le pectoral du jugement, pour en conserver à toujours le souvenir devant l'Éternel. -
Ro 8, 35 Qui nous séparera de l'amour de Christ ? Sera-ce la tribulation, ou l'angoisse, ou la persécution, ou la faim, ou la nudité, ou le péril, ou l'épée ?
1Co 13, 8 La charité ne périt jamais. Les prophéties prendront fin, les langues cesseront, la connaissance disparaîtra.
[5] Qui est celle qui monte du désert, Appuyée sur son bien-aimé ? -Je t'ai réveillée sous le pommier ; Là ta mère t'a enfantée, C'est là qu'elle t'a enfantée, qu'elle t'a donné le jour. - [6] Mets-moi comme un sceau sur ton cœur, Comme un sceau sur ton bras ; Car l'amour est fort comme la mort, La jalousie est inflexible comme le séjour des morts ; Ses ardeurs sont des ardeurs de feu, Une flamme de l'Éternel.

La Sulamithe

[7] Les grandes eaux ne peuvent éteindre l'amour, Et les fleuves ne le submergeraient pas ; Quand un homme offrirait tous les biens de sa maison contre l'amour, Il ne s'attirerait que le mépris.
 
Ru 2, 11 Boaz lui répondit : On m'a rapporté tout ce que tu as fait pour ta belle-mère depuis la mort de ton mari, et comment tu as quitté ton père et ta mère et le pays de ta naissance, pour aller vers un peuple que tu ne connaissais point auparavant.
[8] Nous avons une petite sœur, Qui n'a point encore de mamelles ; Que ferons-nous de notre sœur, Le jour où on la recherchera ? [9] Si elle est un mur, Nous bâtirons sur elle des créneaux d'argent ; Si elle est une porte, Nous la fermerons avec une planche de cèdre. - [10] Je suis un mur, Et mes seins sont comme des tours ; J'ai été à ses yeux comme celle qui trouve la paix. [11] Salomon avait une vigne à Baal Hamon ; Il remit la vigne à des gardiens ; Chacun apportait pour son fruit mille sicles d'argent. [12] Ma vigne, qui est à moi, je la garde. A toi, Salomon, les mille sicles, Et deux cents à ceux qui gardent le fruit ! -

Salomon

[13] Habitante des jardins ! Des amis prêtent l'oreille à ta voix. Daigne me la faire entendre ! -

La Sulamithe

[14] Fuis, mon bien-aimé ! Sois semblable à la gazelle ou au faon des biches, Sur les montagnes des aromates !

Evangile selon Jean, 5

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Témoignage confirmant celui de Jésus

 
Lu 7, 21 A l'heure même, Jésus guérit plusieurs personnes de maladies, d'infirmités, et d'esprits malins, et il rendit la vue à plusieurs aveugles.
Mt 3, 16 Dès que Jésus eut été baptisé, il sortit de l'eau. Et voici, les cieux s'ouvrirent, et il vit l'Esprit de Dieu descendre comme une colombe et venir sur lui.
Ac 3, 22 Moïse a dit : Le Seigneur votre Dieu vous suscitera d'entre vos frères un prophète comme moi ; vous l'écouterez dans tout ce qu'il vous dira,
[31] Si c'est moi qui rends témoignage de moi-même, mon témoignage n'est pas vrai. [32] Il y en a un autre qui rend témoignage de moi, et je sais que le témoignage qu'il rend de moi est vrai. [33] Vous avez envoyé vers Jean, et il a rendu témoignage à la vérité. [34] Pour moi ce n'est pas d'un homme que je reçois le témoignage ; mais je dis ceci, afin que vous soyez sauvés. [35] Jean était la lampe qui brûle et qui luit, et vous avez voulu vous réjouir une heure à sa lumière. [36] Moi, j'ai un témoignage plus grand que celui de Jean ; car les œuvres que le Père m'a donné d'accomplir, ces œuvres mêmes que je fais, témoignent de moi que c'est le Père qui m'a envoyé. [37] Et le Père qui m'a envoyé a rendu lui-même témoignage de moi. Vous n'avez jamais entendu sa voix, vous n'avez point vu sa face, [38] et sa parole ne demeure point en vous, parce que vous ne croyez pas à celui qu'il a envoyé. [39] Vous sondez les Ecritures, parce que vous pensez avoir en elles la vie éternelle : ce sont elles qui rendent témoignage de moi. [40] Et vous ne voulez pas venir à moi pour avoir la vie ! [41] Je ne tire pas ma gloire des hommes. [42] Mais je sais que vous n'avez point en vous l'amour de Dieu. [43] Je suis venu au nom de mon Père, et vous ne me recevez pas ; si un autre vient en son propre nom, vous le recevrez. [44] Comment pouvez-vous croire, vous qui tirez votre gloire les uns des autres, et qui ne cherchez point la gloire qui vient de Dieu seul ? [45] Ne pensez pas que moi je vous accuserai devant le Père ; celui qui vous accuse, c'est Moïse, en qui vous avez mis votre espérance. [46] Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi. [47] Mais si vous ne croyez pas à ses écrits, comment croirez-vous à mes paroles ?
 
 

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